ABSTRACT
The petroleum potential of the Queen Charlotte Basin is evaluated from hydrocarbon shows in the Queen Charlotte Islands. Hydrocarbon occurrences are listed and their field relationships are discussed with regard to source beds and the timing of maturation and migration. Hydrocarbon genesis is interpreted from geochemical data for selected seeps. The principal source beds are Upper Triassic to Lower Jurassic, Kunga and Maude groups. Locally there is geological and geochemical evidence for contributions from Cretaceous and possibly Tertiary kerogens. Potential reservoir facies are identified in the Cretaceous and Tertiary succession. Oil matured and migrated during the latest stage of basin development (Mio-Pliocene). These diverse geological and geochemical data are integrated into an active margin exploration model, having many elements in common with Cook Inlet Basin, Alaska.
RÉSUMÉ
Le potentiel pétrolier du bassin de la Reine Charlotte est évalué à partir d’indices d’hydrocarbures dans les Iles de la Reine Charlotte. Les indices d’hydrocarbures sont énumérés et leurs rapports de terrain sont discutés du point de vue des roches formatrices de pétrole et du temps de la maturation et de la migration. L’origine des hydrocarbures est interprétée à partir de données géochimiques de fuites de pétrole choisies. Les roches mères principales sont les groupes Kunga et Maude, datant du Triassique supérieur au Jurassique inférieur. A certains endroits il existe des preuves tant géologiques que géochimiques d’apports de kérogène Crétacé et peut-être Tertiaire. Des faciès de réservoir possibles sont identifiés dans la succession Crétacée et Tertiaire. L’huile atteingnit la maturité et migra durant la phase la plus tardive de la formation du bassin (Mio-Pliocène). Ces diverses données géologiques et géochimiques sont intégrées dans un modèle d’exploration en marge active, ayant plusieurs éléments en commun avec le bassin de Cook Inlet en Alaska.
Traduit par Marc Charest
