Abstract
Mosasaur tooth marks were found in the body chamber and phragmocone of the Campanian ammonite Placenticeras meeki Boehm from the Bearpaw Formation of the St. Mary River area near Lethbridge. They imply that the shell wall of the ammonite buckled around point loads and did not break into fragments like the shell of Nautilus. The complex septal sutures provided a strong but marginally flexible support for the shell wall. The shells were probably attacked near the surface, perhaps during initial postmortem drift of corpses.
Des marques de dents d'un mosasaurien apparaissent dans la loge d'habitation et le phragmocône d'une ammonite Placenticeras meeki Boehm, d'âge campanien, livrée par la Formation de Bearpaw dans la région de la rivière St. Mary, près de Lethbridge. Elles indiquent que la paroi de la coquille de l'ammonite a été déformée autours des points de pression des dents et qu'elle ne s'est pas brisée en fragments comme dans le cas de la coquille d'un Nautilus. Les sutures cloisonnaires complexes renforcissaient la paroi tout en demeurant marginalement flexible. Les coquilles ont probablement été mordues lorsqu'elles étaient près de la surface, peut-être dès le début de la dérive post-mortem des cadavres. [Traduit par la revue]