Abstract
A survey of the continuing microearthquake activity in the 1982 Miramichi earthquake epicentral region of central New Brunswick took place between July 3 and August 19, 1985. MEQ-800 analog seismographs were deployed at six recording stations for the 47 day period of the survey. Three BakPak digital seismographs were added to the network on July 23, two at the same locations as analog units and one at a seventh site.Three hundred and twenty-five microearthquakes were recorded during the survey. The activity was episodic, with days of few earthquakes being followed by periods when events clustered together in miniswarms. Coda-magnitude relationships for five stations were established from regression analysis of scaled coda lengths of events on the MEQ 800 records and Nuttli magnitudes determined at an Eastern Canadian Telemetered Network station KLN. Only 21 of the events had coda magnitudes (Mc) greater than 0, the largest being 2.0. The larger magnitude earthquakes occurred in zones where there had been little preceding activity. The highest rate of activity was associated with the northeastern corner of the 1982 aftershock zone. Sporadic activity was also recorded from the western side of the zone.Composite P-nodal solutions for three subzones are consistent with the conjugate pattern of thrust faulting obtained in previous studies, except for rotation of fault-plane strikes from northerly to northwesterly directions for two of the subzones. It is remarkable that the pattern of activity first mapped by the 1982 aftershock surveys has remained relatively stationary over the subsequent 3½ year period.Un levé microséismique de l'activité courante dans la région épicentrale du tremblement de terre de Miramichi au Nouveau-Brunswick de janvier 1982 a été effectué entre le 3 juillet et le 19 août 1985. Des séismographes portatifs (MEQ 800) furent installés à six stations pendant une période de 47 jours. Trois séismographes numériques (BakPak) furent ajoutés au réseau le 23 juillet : deux sur sites de MEQ 800's et l'autre sur un septième emplacement.
Le levé a permis d'enregistrer 325 tremblements de terre dans la région épicentrale. Des relations de magnitude du coda pour cinq des stations analogiques furent calculées par technique de régression entre les magnitudes de Nuttli, mesurées à la station KLN du réseau de télémétrie de l'est du Canada, et les longueurs des codas sur les enregistrements des MEQ 800's. Seulement 21 des événements avaient des magnitudes du coda (Mc) supérieures à zéro, la plus grande magnitude étant 2,0. Les tremblements de terre de magnitude supérieure se produisirent dans les zones où l'activité antérieure était faible. La zone la plus active est associée avec un bloc nord-est sur le côté est de la zone de répliques de 1982. Une activité sporadique fut aussi enregistrée du côté ouest de la zone.Des solutions au foyer-P composites pour trois sous-zones s'accordent avec le modèle conjugué de failles de chevauchement proposé dans des études précédentes, à l'exception d'une rotation de l'orientation des plans de failles du nord vers le nord-ouest pour deux de ces sous-zones. Il est remarquable que la distribution de l'activité, obtenue pour la première fois lors des levés des répliques en 1982, est demeurée assez constante pendant la période subséquente de trois ans et demi.