Abstract
Six specimens of the amphibian Seymouria, preserved in a single block of matrix from the Lower Permian Cutler Formation of north-central New Mexico, are described and referred to Seymouria sanjuanensis Vaughn. They are the only Seymouria specimens known from New Mexico and provide a more extensive definition of the species. It is interpreted that the specimens from New Mexico were collected from an early to middle Wolfcampian horizon and therefore represent the earliest known members of the genus. Evidence is presented that challenges previous explanations for the variability of several features of the skull and axial skeleton in specimens of Seymouria baylorensis and S. sanjuanensis as an indication of sexual dimorphism. Differences in the number of maxillary teeth, depth of the maxilla, and development of the maxillary dentition, particularly in the "canine" region, are interpreted as closely related morphological trends in Seymouria. Although no satisfactory explanation is offered for differences in the serial position of the first haemal arch and in the interorbital breadth, sexual dimorphism is considered very unlikely.
La description de six spécimens de l'amphibien Seymouria, préservés dans un bloc de matrice individuel appartenant à la formation de Cutler, d'âge permien inférieur, dans le centre-nord du Nouveau-Mexique, permet d'assigner ces spécimens à Seymouria sanjuanensis Vaughn. Ils représentent les seuls spécimens de Seymouria reconnus dans le Nouveau-Mexique et ils contribuent à mieux définir l'espèce. Ces spécimens du Nouveau-Mexique sont interprétés comme ayant été collectionnés dans les strates du Wolfcampien inférieur et moyen, et par conséquent ils représentent les plus anciens membres reconnus de ce genre. Leur description remet en cause les explications antérieures concernant les dissemblances dans les particularités du crâne et du squelette axial des spécimens de Seymouria baylorensis et de S. sanjuanensis qui servaient à définir le dimorphisme sexuel. Les différences dans le nombre de dents maxillaires, de la profondeur de la maxille, et du développement de la dentition maxillaire, particulièrement dans la région des « canines », sont interprétées comme étant des tendances morphologiques très voisines dans les Seymouria. Même si aucune explication satisfaisante n'est offerte des différences dans la position sériée du premier arc hémal et de la largeur interorbitale, il est plus probable que ce dimorphisme sexuel n'existe pas. [Traduit par la revue]